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Bibliothèque et CDI : stoppez les vols

Dans les bibliothèques municipales, à luniversité, dans les CDI des collèges et lycées, les livres et multimédias qui ne sont jamais rendus disparaissent à jamais. Cela nest pas officiellement considéré comme un vol, sagissant souvent doublis ou de pertes des emprunteurs. Le vol est néanmoins une réalité par ailleurs, lorsquune personne quitte les lieux avec un livre sous le bras ou sous le manteau sans passer par le bureau, et dont les bibliothèques doivent se protéger. Alors quel antivol choisir ? Réponse.

Solutions antivol par un technicien Alrytech

Existe-t-il des statistiques sur les vols en bibliothèques ?

Daprès lENSSIB (école nationale supérieure des sciences de linformation et des bibliothèques), faire le décompte des vols pour parvenir à des statistiques nest pas possible. En effet, comment faire la différence entre un oubli, la perte d’un ouvrage au cours d’un déménagement par exemple, et le vol effectif ? De nombreux étudiants et visiteurs de bibliothèques perdent des livres de façon tout à fait innocente. Mais d’autres, au contraire, n’y remettent plus les pieds pour rendre cet objet culturel.

Le calcul des pertes effectives des livres et autres documents se fait uniquement au moment du récolement (que lon pourrait traduire par inventaire des stocks). À cette occasion, les bibliothécaires et responsables de CDI répertorient les produits culturels non rendus ou disparus, sans pouvoir différencier ce qui a pu être volé de ce qui a été perdu. Seule solution : des systèmes antivol.

Le vol en bibliothèques et médiathèques

Il est donc difficile de trouver des statistiques nationales sur le vol en bibliothèque, ainsi qu’en médiathèque et CDI. Mais, que ce soit une bibliothèque municipale ou au sein d’une université ou d’une école privée, la perte et le vol sont des réalités quotidiennes pour les responsables et les bibliothécaires. Et sans antivol, impossible de les contrôler.

Il faut par ailleurs préciser que les bibliothèques municipales sont bien évidemment ouvertes à tous. Il n’est donc pas possible de contrôler l’identité de chaque personne et de connaître les livres qu’elle consulte à l’intérieur même de la bibliothèque. Et même les possesseurs d’une carte sont susceptibles de voler des ouvrages. Opter pour différents systèmes antivol est donc indispensable.

Et cela d’autant plus que les médiathèques regroupent un très grand nombre d’objets culturels :

  • les livres bien sûr ;
  • mais aussi des CD ;
  • ou encore des DVD ;
  • des cartes et registres anciens ;

À l’heure du tout numérique cela peut sembler quelque peu désuet, mais ces objets peuvent néanmoins susciter la convoitise. Surtout s’agissant des ouvrages rares qui peuvent représenter beaucoup d’argent sur le marché noir. Il peut ainsi arriver que l’on retrouve des livres anciens volés en bibliothèque sur les sites de vente en ligne.

Les grandes bibliothèques en particulier peuvent détenir des collections de valeur qui sont l’objet de vols et même de détérioration. Ce fut notamment le cas à la Bibliothèque nationale de France en 2016 où 43 gravures ont été découpées au cutter et où 21 cartes anciennes ont été également dérobées. Le prestigieux établissement avait ainsi été la victime de plusieurs vols de documents rares et extrêmement précieux. Pour ne pas dire inestimables. Et pourtant, toutes les bibliothèques de ce type n’ont pas de systèmes antivol.

Les technologies pour endiguer les vols en bibliothèque et CDI

Les bibliothèques et CDI sont soumis à des impératifs de budget. La protection et les systèmes antivol passe ainsi avant tout par le rappel aux emprunteurs. Mais on le sait bien, les bonnes paroles ne suffisent pas toujours pour empêcher le vol.

Il existe néanmoins deux technologies antivol qui viennent en appui de la pédagogie : l’électromagnétique (EM) et la RFID (radio-identification).

L’électromagnétique (EM)

Cette technologie antivol n’est désormais pratiquement utilisée que dans les bibliothèques. En effet, les commerces préfèrent le dispositif antivol de l’acousto-magnétique qui est pour eux plus efficace. Mais pour les établissements culturels, l’électro-magnétique demeure une technologie très pertinente. Elle est donc à la fois la plus adaptée pour un système antivol classique et, surtout, elle est la moins coûteuse pour les bibliothèques.

Les pièges sur des étiquettes EM qui contiennent des filaments antivol apportent une protection discrète adaptée aux bibliothèques et CDI. L’important pour ces lieux est bien sûr de pouvoir activer et désactiver les antivols à chaque retour, pour que les livres ou DVD reviennent dans les rayonnages du magasin. En associant un désactiveur et un activeur, vous pourrez ainsi désactiver le produit prêté et le réactiver lors de son retour.

 

La RFID

Cette technologie antivol permet dinscrire les informations de reconnaissance de larticle sur une puce électronique collée au produit. Elle est très prisée par les bibliothécaires et les documentalistes.

 

Les puces RFID antivol sont par ailleurs chaque fois uniques, ce qui permet d’identifier précisément chaque livre ou document, DVD et CD. Elles contiennent toutes les informations nécessaires sur le produit, ce qui facilite la gestion des stocks et l’inventaire : auteur, titre, code ISBN, localisation dans le magasin, statut. Ces informations entrent par scan dans le logiciel dédié à ce type d’établissement : le Système Intégré de Gestion de Bibliothèque (SIGB).

 

L’autre avantage du système RFID réside bien sûr dans son caractère antivol. Comme pour les antivols électro-magnétiques, en cas de sortie d’un article de la bibliothèque sans être passé par le bureau d’emprunt, les portiques déclenchent une alarme.

 

Ce système antivol convient particulièrement aux bibliothèques municipales, mais pas seulement. Début 2020, l’université Jean Moulin Lyon 3, a ainsi mis en place un dispositif RFID, autant pour gérer les sorties et les retours que pour la sécurité de sa collection. Dans cet exemple le scanner qui sert au retour des livres est automatisé et à la disposition des utilisateurs, étudiants et chercheurs. De cette façon, en plus d’être un outil antivol particulièrement efficace, le système RFID permet aux personnels des bibliothèques de réaliser des tâches à plus forte valeur ajoutée.

 

Les portiques antivol des bibliothèques

Pour une solution complète et le déclenchement de l’alarme, vous devez bien sûr coupler les étiquettes avec des portiques antivol de la même technologie. Autrement dit, pour votre bibliothèque, choisissez la technologie électro-magnétique ou RFID et un système de portiques adéquat. 

 Alrytech propose aux bibliothèques et CDI tout le matériel antivol et les systèmes nécessaire et peu coûteux afin de protéger leurs collections. N’hésitez pas à demander un devis ! Nous nous déplaçons bien sûr dans vos locaux pour analyser la configuration des lieux.

Devis gratuit et détaillé

Installation par un professionnel

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Mise en service de A à Z

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Suivi et garantie des produits et de la main d'oeuvre

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